CHICANE DE COUPLE


CHICANE DE COUPLE

 Plusieurs femmes enceintes s’interrogent ces derniers temps de l'impact d'une chicane de couple sur le bébé qu'elle porte.

Elles font bien de se questionner à ce sujet, car effectivement, il y a des effets sur l'embryon ou le foetus. Et même plus, c'est-à-dire, qu'il ne faut pas seulement se limiter à la période de la grossesse, mais il faut aussi inclure les 9 mois après la naissance et les 9 mois avant la conception.

Dans les 9 mois avant conception, la conscience de l'enfant en devenir est toute là et termine ses choix de plan de vie, et cela inclut le choix de ses futurs parents. La conscience est alors présente dans l'environnement familial et commence déjà à capter certaines situations de vie. S'il y a des conflits dans le couple à ce moment, cela interpellera cette conscience et déjà elle pourra emmagasiner des charges mentales et émotionnelles qui programmeront sa vie.

De la même manière, durant la grossesse et après la naissance, tout conflit parental que ce soit entre le couple ou avec la famille ou la belle-famille pourra avoir une incidence sur la santé psychologique de l'enfant.

À titre d'exemple, qui ici est une synthèse de plusieurs cas du même thème, imaginons qu'il y a une chicane de couple par rapport à la venue de cet enfant. Cela peut être parce que c'est une grossesse imprévue, ou trop tôt, ou qui survient quand la décision de mettre un terme à la famille est prise.

Dans cette chicane, il y aura une intensité émotionnelle qui sera possiblement élevée. C'est l'élément de base pour qu'une empreinte, ou un programme puisse se créer. L'embryon ou le foetus, qui vit à travers vous ce conflit, se sentira automatiquement LE responsable. C'est un réflexe de culpabilité systématique observé lors de toutes les expériences intra et extra-utérines relatées jusqu'à présent. L'embryon ou le foetus s'associe à l'évènement comme étant la cause.Il se responsabilise des émotions de sa mère et se perçoit comme le fautif de sa détresse.

De cette responsabilisation, il se créera son univers intérieur en lien avec le contexte du conflit. Cela génèrera une perception de soi dévalorisante du genre: je suis méchant, je suis de trop ou autres. Cela engendrera aussi une perception de la vie du genre: il n'y aura pas de place pour moi, les autres ne voudront jamais de moi, il serait mieux que je disparaisse, que je n'existe pas ou autres. Et il voudra réparer cette situation en devenant souvent l'inverse de ce qu'il a cru être, à ce moment, du genre: je vais être gentil, je ne dérangerai pas ou autres.

Les trois éléments mis en gras précédemment forment un système fermé , les constituant du programme. Il se répercutera tout au long de sa vie sous forme ou dans des sphères différentes (personnelle, professionnelle, sociale, familiale, sexuelle).

Il y a un moyen rapide et définitif de mettre fin à ses programmes, la Thérapie des Mémoires Intra et Extra-Utérines TMIEU.  Elle peut agir sur la mère et l'enfant pendant la grossesse, ou sur l'adulte conscient et désireux de régler certaines problématiques.

Pour vos questions:
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514-369-1359

Brigitte Levesque


EST-CE QUE L'AMOUR SUFFIT...




Est-ce que l'amour suffit pour tout réparer...
Ou plus spécifiquement, est-ce que l'amour de parents bienveillants, attentionnés et pourvus des meilleurs intentions peut réparer les blessures intra-utérines...

Nous avons tendance à répondre, à prime abord, oui. Peut-être parce qu'au plus profond de notre être, nous connaissons la puissance de l'amour, mais aussi, peut-être parce que nous ignorons tout l'impact de ces moments de vie.  Alors, laissez moi vous partager les observations des mes 20 ans d'expérience thérapeutique.

Bien sur, ce qui est relaté ici ne provient pas d'une communication directe avec l'embryon ou le fœtus dans le temps réel de son stade évolutif! Cependant, nous portons tous au plus profond de soi, ces histoires de vie embryonnaires et fœtales. Elles influencent nos perceptions, nos réactions, nos choix, notre personnalité, en sommes, pratiquement tout ce que nous sommes devenus.

Dans mes interventions auprès des adultes, ceux-ci deviennent une vitrine sur ces temps passées. Les mal être traités sont une porte ouverte  sur ces expériences et donnent un accès expérientiel direct sur cette vie d'avant. Dans l'unicité de chacune des expériences relatées, des tangentes prennent forme mettant à jour des secrets jusque là insoupçonnés.

C'est ce qui m'amène à vous dire, en fonction de ce titre, que l'amour donné après la naissance par les parents ne suffit pas à guérir les blessures intra-utérines. Bien sur, favoriser un climat aimant, constructif  et épanouissant pour l'enfant est essentiel à son bon développement. Le rôle cependant de celui-ci se limitera à ne pas amplifier les blessures, mais non à les guérir.

Bien des fois, les remarques faites par les personnes qui me consultent vont dans le sens de «mais je ne comprends pas pourquoi je me sens ainsi, pourtant mes parents m'ont tout donné, de l'amour, de l'attention, de l'encouragement... Le lien que j'ai avec eux est harmonieux, je les aime tellement...

Et oui... Mes observations m'amènent à comprendre que lorsqu'une expérience intra-utérine a une charge émotionnelle importante, elle crée un «programme». C'est-à-dire une empreinte dans toutes les dimensions de l'être, donc physique, énergétique, émotionnelle, mentale et spirituelle. Et que, la permanence de cette empreinte est liée à l'intention de survie de l'être qui vit l'expérience et au besoin de ne plus revivre dans le futur cette souffrance.

Dans sa dimension spirituelle, cet être en devenir a préalablement fait des choix d'incarnation l'amenant, comme une prédestinée, à être marqué par tel vécu plutôt qu'un autre. C'est en quelque sorte pourquoi cette guérison passe par un devoir d'incarnation personnel dont chacun en détient l'unique pouvoir.  

 Dans la dimension émotionnelle, le défi ultime et universel de chacun d'entre nous est d'apprendre à s'aimer et de cet apprentissage participer à un rayonnement aimant vers autrui. La souffrance emmagasinée dans ces programmes de vie trace le chemin de l'évolution humaine par un retour obligé à cette découverte de nos blessures. Ce retour est une condition fondamentale à cette réappropriation de ce Soi aimant et la base d'une guérison définitive. Notre amour ne peut guérir quelqu'un d'autre, sauf soi-même. Mais il peut apprendre, par sa manifestation, à l'autre à s'aimer, afin qu'il puisse se guérir.

Dans sa dimension mentale, les émotions contenues dans l'expérience stimulent le mental qui associe des pensées significatives en fonction de la compréhension que l'embryon ou le foetus a de l'expérience.  Ces pensées mariées aux émotions formes les perceptions qui elles déformeront une partie de la réalité devenant une représentation illusoire, une représentation partielle de cette expérience d'origine. Ce qui a pour effet, de masquer la parole ou le geste aimant des parents par cette blessure d'origine. D'où bien souvent l'impression que vos efforts à faire passer un massage aimant ne porte pas fruit.

Les programmes limitants ont un aspect commun,  l'absence d'amour que ressent l'embryon ou le fœtus dans l'expérience. Les différents contextes de ces expériences sont une remise en question de la grossesse, une grossesse non désirée, ou imprévue, un conflit parental, ou familial, une insécurité profonde vécue par la mère, ou des états d'anxiété, de rejet, de solitude, d'abandon, de sentiment de ne pas être à la hauteur, de culpabilité et autres.

Fait important, un programme limitant ne prend que quelques secondes à quelques minutes pour se créer. Ceci n'a rien à voir avec un état permanent durant les 9 mois de grossesse. L'intériorité de la mère est un hologramme de la réalité de l'embryon ou du fœtus et il est aux premières loges pour capter le moindre état. De façon systématique, il s'associe au vécu de sa mère et se déploie ce que j'appelle un réflexe aimant inhérent à notre règne, c'est-à-dire celui de se sentir instantanément fautif par rapport à l'état de détresse de sa mère. Toute la puissance de longévité de ce programme réside dans le désir de réparer ce à quoi il s'est cru fautif, donc dans la recherche d'être aimé par ses parents, qui s'extensionera par la suite aux amis, aux partenaires, aux patrons...

La grossesse est une occasion unique de guérir deux être à la fois. Car si vous pouvez transmettre votre vécu souffrant il est aussi possible, par la biais de l'expérience réparée, de lui transmettre ce nouvel  héritage. C'est le seul moment où votre amour peut guérir votre enfant puisque votre propre expérience lui servira de nouvelle programmation.



Brigitte Levesque   Thérapeute
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PHÉNOMÈNE D'EMPREINTE




Le niveau de conscience des parents est important. Il permet, durant la grossesse entre autre, d'offrir des «rives» où la conscience de l'enfant en devenir peut se déposer, s'apprivoiser, étape par étape, à son intégration dans son corps et dans ce monde.

Cette intégration étape par étape, permet à l'âme de faire une évaluation de ce qu'elle a franchi et de ce qu'il lui reste à franchir dans son processus d'incarnation.

Ces «rives» sont comme des observatoires dont le paysage est formé par les perceptions des parents, et mes observations cliniques m'amènent à attirer particulièrement  l'attention  par rapport à la mère. L'intériorité psychique de celle-ci devient un hologramme de sa réalité subjective à travers lequel la conscience de l'embryon ou du fœtus formera ses perceptions de soi et du monde.

J'ai été témoin à différents moments durant mes interventions d'un phénomène de transmission qui, ces dernières semaines, s'est particulièrement manifesté au point où je tente d'en décrire le processus, car je le considère important pour comprendre comment l'héritage humain peut se transmettent du parent à l'enfant.

Ce phénomène est une transposition kinesthésique environnementale par l'embryon ou le fœtus, de la psyché de la mère. 

Cette transposition fait appel à la façon dont l'intériorité émotionnelle et mentale de la mère devient pour l'embryon et le fœtus un environnement à la teneur de cette intériorité. Pour rendre plus concret, voici à titre d'exemple: une mère vivant de l'anxiété, de la tristesse, de l'insécurité, de la solitude, du doute, des peurs, même de façon temporaire ou momentanée, car quelques instants suffisent pour créer une empreinte,  pourra être perçu par la grande sensibilité de l'embryon ou du fœtus. Ces états psychiques, des atomes de pensées et d'émotions,  peuvent être transposés en sensations créant un environnement virtuel kinesthésique. Une expérience physique se crée donnant la sensation à l'embryon ou au fœtus d'être dans de la vase épaisse, dans un liquide gluant et répugnant, dans du béton, dans un trou noir, dans un rouge sanglant, dans le froid, dans un espace serré/ où il ne peut bouger... Ces sensations transcrivent l'état psychique de la mère. Il se transmet à l'enfant dans cet environnement virtuel d'où il formera ses propres perceptions, mais qui sont en fait la passation de la réalité subjective du parent.


Ces perceptions fondamentales sont issues de ces expériences d'origine et se créent à l'instant même de l'expérience. Elles ont une influence déterminante sur sa vision de l'humanité, de lui-même, de ses capacités et du développement de toute sa potentialité.
 
Une perception est construite d'une charge émotionnelle et d'une projection mentale, prolongement dans le futur en pensée de l'émotion. La synergie de ces deux dimensions crée une auto-réactivation de l'une par rapport à l'autre.

La capacité de l'embryon ou du fœtus à ressentir ou capter de l'information n'est pas tributaire de l’existence du cerveau, mais bien de l'existence de la conscience. Au même titre que les personnes ayant vécu une expérience de mort imminente EMI et, malgré un électroencéphalogramme et électrocardiogramme à plat, ils peuvent relater ce qu'ils ont vu, entendu et ressenti dans la salle. Le neuroscientifique québécois Mario Beauregard démontre avec éloquence les capacités de la conscience dans son livre Les pouvoirs de la conscience chez InterEditions.



Heureusement, la Thérapie des Mémoires Intra et Extra-Utérine TMIEU permet pour le parent de transformer ces intériorités et de libérer des empreintes deux êtres à la fois durant la grossesse.

Brigitte Levesque
brigittelevesquepsy@gmail.com
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HISTOIRES DE FOETUS



Maman, sais-tu ce que je vis dans ton ventre? Sais-tu qu’en ce moment, je façonne ma personnalité, mon unicité, tout l’être que je serai? Sais-tu que je prépare mon avenir?


Pendant la grossesse, bébé met en place les structures mentales et émotionnelles qui formeront ses perceptions de soi, des autres et de la vie. Elles le dirigeront soit vers l’amour ou la solitude, soit vers la réussite ou l’échec, soit vers la joie ou la déprime, pour ne nommer que ceux-là.

Les mémoires fœtales et même embryonnaires existent. Elles reposent sur l’existence de la conscience et de ses propriétés de perception malgré l’absence de cerveau, même si ce fonctionnement n’est pas encore connu avec certitude au niveau scientifique.

À travers vos joies, vos déceptions, votre hâte à l’accueillir, vos peines, votre anxiété, votre présence à lui, votre peur de le perdre, votre grossesse accidentelle, vos besoins de présence, d’attention, de soutien, vos sentiments de plénitude, de sécurité, de solitude, de rejet ou d’abandon, il se construit. Vous êtes son premier environnement psycho-émotionnel. Il vous vit à travers vous. Vous êtes son histoire, sa vie.
Je donne ici la parole aux fœtus et aux embryons qui, grâce à la mémoire émotionnelle qui ne se perd jamais, ont exprimé des expériences vécues de la conception à la naissance. Ces expériences sont naturellement relatées par des adultes venant régler une problématique et ayant pu, par la Thérapie des Mémoires Intra et Extra-Utérines , contacter et transformer ce qui en était la cause.
Je vous raconte quelques histoires
À travers vous, à travers toi maman, je bâtis…
Ma sécurité
« Je me sens inquiet, sans défense, dépourvu… Je ne sais pas ce qui se passe, ce qui va m’arriver… C’est bruyant autour, agité… Ma maman est inquiète… Je ne la sens pas… J’ai besoin de sentir sa présence… J’ai peur de me retrouver dans le vide, de quitter l’espace où je suis, ma sécurité… Je veux y retourner… J’ai peur de ce qui m’attend… Je vais tout faire pour rester accroché à elle… »
Mon estime
« Je sens une profonde solitude… Je suis seul… Je suis seul… Ma mère ne veut pas de moi… Ce n’est pas le bon moment… Elle a peur de la réaction de mon père… Elle a peur qu’il se fâche… Je dérange… Ça serait mieux que je disparaisse… Ils ne m’aiment pas… Je ne suis rien… Je ne vaux rien… Personne ne veut de moi… »
Ma culpabilité
« J’ai de la peine… Profonde détresse… Ma mère ne va pas bien… Elle pleure… Elle est anxieuse, nerveuse, dépassée… C’est de ma faute… C’est à cause de moi… C’est parce que je suis là… Je lui fais de la peine… Je vais être gentil… Je vais tout faire pour lui plaire… Il ne faut plus qu’elle ait de peine… »
Un burn-out
 « Je sens cela difficile, pesant… Maman est fatiguée, débordée… Toute seule... Elle a besoin de support… Je suis de trop… Je suis un fardeau… Je me sens impuissant, je ne peux pas la soulager… Je n’en ferai jamais assez… Je vais tout faire pour ne pas lui donner de troubles… Il va falloir que je sois parfait… Que je sois le meilleur… »
Ma confiance
« Je suis oppressé… J’ai de la misère à respirer… Je panique… Je suis pris… Elle a mal… Elle va mourir… Je vais mourir… Elle a besoin d’aide… Elle veut que je l’aide… Je ne serai jamais capable… Je ne suis pas à la hauteur… Elle va être déçue de moi… »
Ces expériences, par leur intensité émotionnelle et l’impuissance à s’en soustraire, sont devenues des processus de refoulement pour faire oublier cette souffrance. Cependant, l’inconscient appelle à la transformation et s’amuse à repérer les moindres détails pouvant activer ce passé. C’est pourquoi la grossesse devient souvent une étape évolutive majeure dans la vie d’une femme puisqu’elle met en rappel ses propres traumatismes émotionnels intra-utérins. Ceci explique, entre autres, l’arrivée de certaines peurs ou la perte de contrôle de certaines émotions, de même que la transmission intergénérationnelle. Pour mieux identifier si vous êtes sous l’influence de vos mémoires intra-utérines, je vous réfère  l’article Traumatismes émotionnels intra et extra-utérins ,  et Communiquer avec bébé.

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COMMUNIQUER AVEC BÉBÉ






Mon expérience clinique m'a démontré hors de tout doute la capacité du foetus et même de l'embryon d'être conscient de ce que vivent ses parents et de la possibilité de s'approprier personnellement les émotions contenues dans les pensées et les situations.

Il ne suffit que de quelques minutes ou même secondes pour que se crée un programme qui déterminera le cours de sa vie entière. Plus la charge émotionnelle contenue dans les pensées ou la situation est grande, ou/et plus il y a répétition ou chronicité d'un état psycho-émotionnel quelconque, plus son imprégnation sera permanente.

La TMIEU permet de se libérer définitivement de ces traumatismes intra-utérins.

En attendant...

Communiquer avec bébé
Je vous offre un petit exercice pour aider à adoucir les conséquences de certaines émotions en attendant de les traiter plus définitivement. Une réelle communication consciente avec votre enfant est possible. Elle peut permettre d’atténuer certains effets.

Exercice
Adoptez une position confortable, assise ou étendue
Prenez 4 grandes respirations
Imaginez un soleil à l’intérieur, au centre de votre thorax
Imaginez un soleil dans le thorax de votre enfant
Imaginez qu’il se tisse un lien de votre soleil au sien (vous pouvez mettre, en plus, vos mains sur votre ventre)
Soyez totalement présente à votre intention de communiquer avec votre enfant
Appelez la conscience, la présence de votre enfant
Exprimer lui, en pensée ou à haute voix, la raison de votre communication. À titre d’exemple : à la suite d’une situation, d’un état ou de pensées qui vous ont habités, expliquer lui avec vérité comment vous vous sentiez. Ensuite, soyez intériorisée, à l’écoute de sa réponse, de ce que vous percevez de lui. Si cela est difficile pour vous, avec empathie, exprimez lui ce que vous comprenez de ce qu’il a pu ressentir.
Une fois terminé, prenez 4 grandes respirations pour stabiliser ou calmer votre état
Gardez actif votre lien entre vos deux soleils, simplement en pensée, 2-3 secondes
Retrouvez un souvenir où vous avez ressenti de l’amour (présence, attention, accueil, joie, affection…)
Rendez le souvenir vivant, comme si cela se passait maintenant, et ressentez-en tous les effets
Donnez spontanément une couleur à cet état ressource
Allumez une flamme de cette couleur dans votre soleil et celui de votre enfant
Transmettez-lui, par cette couleur, toutes les sensations de bien-être du souvenir, et vos excuses
Rassurez-le en lui exprimant ce que vous avez compris de cette expérience et quels en seront les changements
Remerciez sa présence et la vôtre

Pour la naissance
Ayant observé beaucoup d’insécurité qui se crée à la naissance parce que le fœtus ne sait pas ce qui se passe et ce qui l’attend, cet exercice peut s’avérer particulièrement adéquat en préparation à la naissance de votre enfant. Expliquez lui ce qu’est le monde extérieur, comment les choses peuvent se dérouler, que vous serez toujours là pour lui, c’est-à dire qu’une fois hors de vous, il ne vous perdra pas. Visualisez-le dans vos bras et transmettez-lui cette sensation sécurisante pendant que vous lui expliquer tout cela.




Conseil
Vous devez vivre la communication  dans tous vos sens pour la rendre réelle. Soyez associée à l'expérience pour lui donner de la véracité et de la sincérité.

Brigitte Levesque
brigittelevesquepsy@gmail.com 
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TRAUMATISMES ÉMOTIONNELS INTRA ET EXTRA-UTÉRINS





Les traumatismes émotionnels de votre vie d’avant conception, fœtale et des tous premiers mois après la naissance sont présents encore en vous. Venez découvrir comment reconnaître les signes de leur présence.


Les empreintes intra et extra-utérines se créent dans les périodes de -9 mois avant la conception, de gestation et de 9 mois après la naissance. Ces empreintes peuvent servir aussi de relais ou de pont à la manifestation de vies antérieures qui peuvent s’activer grâce aux expériences vécues dans cette vie-ci, servant de rappel énergétique mnémonique. Elles influencent ce que vous êtes dans votre vie actuelle, et génèrent plus de 90% des mal être qui vous habitent.


Comment reconnaître l’existence de ces mémoires intra et extra-utérines en vous ?



Quand vos émotions l’emportent sur votre raison…

Avez-vous déjà été au prise avec des émotions très fortes que vous avez essayé de raisonner par plein d’arguments logiques et sans succès. Vous êtes-vous déjà senti impuissant ou désespéré à ne pouvoir calmer les poussées d’anxiété ou d’angoisse… et surtout ne pas savoir à quoi cela était dû. Réagissez-vous de façon réflexe, plus vite que votre pensé, et qu’après coup vous réalisez à quel point votre réaction était excessive ou inadaptée ?


Tensions physico-émotionnelles…

Lorsque vous entrez dans une forte émotivité, que vous êtes dans un état de stress important, ressentez-vous dans votre corps et même autour de lui des sensations ? Par exemple, au niveau du plexus, une sensation de serrement, de crispation, ou comme si cela creuse vers l’intérieur, ou encore une barre, une boule… Au niveau du thorax, une sensation de pression, d’oppression, comme quelque chose qui pèse, comme une plaque, une difficulté à respirer, un serrement ou que cela twiste à l’intérieur… Ces sensations peuvent s’étendre jusqu’à la gorge créant aussi une boule, une tension… Vous arrive-t-il d’avoir l’impression d’avoir un poids sur les épaules, ou d’être recouvert d’un amas énergétique vous amenant à vous replier sur soi, de ressentir des tensions dans la tête, la nuque… Les centres de conscience que sont les chakras sont particulièrement affectés par les empreintes intra et extra-utérines. Par les différentes sensations énumérées localisées dans ces zones, ils témoignent de la perturbation énergique créée par ces traumatismes émotionnels intra et extra-utérins. Lorsque ces mémoires sont transformées, l’équilibre énergétique se replace naturellement.

Tensions psycho-émotionnelles…

Ressentez-vous des sentiments profonds de vide, de solitude, de rejet, d’abandon, de culpabilité, de colère, d’effacement, de dévalorisation… Ces sentiments sont à la base d’une multitude de peurs comme la peur de déplaire, de dire non, de s’affirmer, de prendre sa place, d’exister, de mourir, de la chicane, d’être jugé, de réussir, de l’échec, de l’engagement, de déranger, de ne pas être à la hauteur. Et d’une multitude de comportements générés par ces peurs comme la dépendance affective, la jalousie, le perfectionnisme, la soumission, la victimisation, la domination, l’auto-sabotage, la dépression, le burn out, l’hypocondrie, les phobies de toute sorte, le célibat, les ruptures à répétitions ou la redondance de partenaires avec une problématique similaire,…


Les croyances identitaires négatives CIN

Dans les moments où cela ne va pas bien, avez-vous un dialogue interne, cette petite voie qui vous dit: ce serait mieux si je n’existais pas, je suis de trop, je suis un fardeau, je n’ai pas de place nulle part, je ne suis rien, je ne suis pas important, je ne suis pas intéressant, je n’en vaux pas la peine, je devrais disparaître, je n’en fais jamais assez, je ne suis pas capable, personne ne m’aime… Ces exemples de CIN sont créées au moment des traumatismes intra et extra-utérins et nous habitent toute notre vie. Elles sont issues de l’expérience, mais aussi d’un réflexe premier qu’a l’être en devenir de s’attribuer la souffrance de sa mère et d’en devenir automatiquement la cause. À ce moment, il se crée une perception négative de soi qui restera gravée.

Dualité entre ce que je pense et ce que je ressens…

Le mental a comme fonction première de faire taire l’émotionnel. Par le raisonnement et la logique, il essai de calmer ou même d’ignorer la souffrance. Cependant, les processus inconscients créés par des expériences d’origine souffrantes mettront en rappel ces émotions par plein de moyens, dans le but d’amener à la conscience l’expérience et de la transformer, d’où le phénomène de répétition. Votre intellect sait des choses et votre émotionnel sent des choses. C’est cette dualité qui amène une forme de contradiction intérieure et qui malgré ce que vous savez, ce que vous sentez prendra ou reprendra le dessus. Je sais que je suis …, mais je ne sens pas que je suis … .Ce sont les CIN qui sont à la base de cette dualité et qui sont un des facteurs essentiels dans la persistance des mal être.


Mémoires de jumeaux

30% des grossesses seraient gémellaires. Un des jumeaux disparaîtrait  avant le troisième mois de grossesse.  Il est donc vécu par certains fœtus la perte de leur jumeau. Il s’empare d’eux alors un sentiment profond d’impuissance, de manque, de solitude, de culpabilité, ou une peur farouche de mourir. Tous ces éléments peuvent se manifester dans le quotidien par des ruptures amoureuses ou des changements d’attitudes passant de l’autonomie affective à la dépendance après un certain nombre de mois très précis de relation. Toujours acheter des choses en double, être habité constamment par la peur de perdre quelqu’un ou quelque chose…

Re-naissance

Il arrive qu’un enfant décédé, que ce soit à l’état embryonnaire ou fœtal ou après la naissance, revienne tout de suite dans la grossesse suivante. Il peut y avoir chez la personne un sentiment de ne pas être soi ou d’être un autre. Sa mort précédente peut avoir laissé des traces profondes d’abandon, de peur de vivre qui peuvent dégénérer ultérieurement dans de grandes insécurités face à l’avenir, des dépressions, et des états anxieux.

Tout le monde vit ces passages intra et extra-utérins. Nous sommes tous affectés d’une manière ou d’une autre par ces épreuves.
Notre vie foetale nous mène par le bout du nez!

Brigitte Levesque
brigittelevesquepsy@gmail.com
anxiete-stress.com

COMMENT RÉGLER LA CULPABILITÉ



LÀ OÙ LA CULPABILITÉ PREND NAISSANCE

La culpabilité se forme lorsque l'on a l'impression de faire, de ressentir ou de penser quelque chose de « pas correcte »...

Mais, sur quoi se base t-on pour définir qu'une chose n'est pas correcte...

Sur nos valeurs.
Si nous ne sommes pas congruentes avec nos valeurs par un concours de circonstance, ou par peur, nous développerons des remises en question et des jugements personnels qui aboutiront à des regrets.

Par rapport aux exigences que nous nous imposons...
À la recherche de la grossesse idéale, de la maman idéale, de la famille idéale la barre de nos aspirations est souvent de performance olympienne. Bien sur, nous voulons le meilleur pour notre ou nos enfants. Mais ce meilleur, qu'est-il au juste? C'est souvent de ne pas reproduire ce qui nous a manqué, ce qui nous blessé.
Cependant, quand la raison et nos actions ne suffisent pas à calmer les émotions, que se passe t-il donc...

L'émergence de nos croyances identitaires négatives CIN
La façon dont, à nos propres yeux, nous nous percevons a un impact déterminant sur la persistance et l'intensité du sentiment de culpabilité. Ces CIN sont issues d'expériences d'apprentissage de non amour devenues des mécanismes inconscients et ayant le pouvoir de déclencher vos émotions dès qu'ils repèrent un infime élément de cette expérience première.

Les mémoires intra-utérines sont à l'origine des CIN
Toutes femmes portent en elles la descendance des sentiments de rejet ou d'abandon. La gestation est la courroie de transmission humaine qui permet de perpétuer ces sentiments. Ils sont transmis à l'embryon ou au fœtus par leur actualisation en la mère en raison de ce qu'elle ressent. L'être porté le ressent de même, mais en plus, déjà habité par un amour infini envers sa mère, il a comme réflexe premier de s'attribuer la faute de sa souffrance.

Une grossesse non-désirée ou pas au bon moment, une chicane de couple, un conflit avec la famille ou la belle-famille, la peur de perdre l'enfant, les malaises physiques qui excèdent, toutes ces situations et plus encore, génèrent des CIN comme : je suis de trop, je dérange, je ne devrais pas exister, je ne suis pas à la hauteur, parfaite, assez bonne, gentille, correcte, je suis méchante, je suis laide...etc... Ce sont ces perceptions de soi, créées in-utéro, qui sont à la source de votre culpabilité. Il ne faut que quelques minutes pour créer un programme qui durera toute une vie. Et celui persistera même si par la suite de votre grossesse ce sentiment est absent.

La culpabilité ça se règle
La Thérapie des Mémoires Intra et Extra-Utérines (TMIEU) permet de transformer la culpabilité. Une fois la cueillette d'information complétée, et que le nombre de mémoires possibles a été identifié, il ne suffit que d'une séance par mémoire pour la transformer définitivement. Elle permet de ramener en conscience avec précision la mémoire pour ensuite en faire ressortir la stratégie de survie, la CIN, et le comportement décisionnel permettant la réalisation des deux précédentes. Une étape de réparation de cette expérience s'en suit afin que ce programme soit définitivement réglé. Les effets se placent naturellement, immédiatement et sans effort. De plus, vous avez épargné à votre enfant ce poids émotionnel et participé à créer un être plus épanoui.

Possible en consultation sur skype.